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31/03/2017

Paris : avant, pendant, après !


Avant :

Ce rhume qui n'en finit pas, la découverte que je ne suis pas éligible pour toucher les APL et le propriétaire qui a passé une demie-journée à bosser dans ma salle de bain, refaire les joints et fixer un "porte-pommeau de douche"...

Pendant :

4 jours plein à Paris, timing parfait ! Juste le temps de profiter de ma famille et de voir les amis que j'avais envie de voir, sans avoir le cafard au moment du retour.
Encore plus enrhumée ici qu'à Toulouse, à se demander si je ne fais pas une allergie vu à quel point ça dure. J'ai eu le temps de faire les démarches pour donner mon vote pour les présidentielles, mais pas de vendre mon four...
Par hasard, j'ai passé un petit entretien d'embauche à Paris, la veille de mon départ, pour un job à Toulouse. Qui s'est bien passé, mais pas de nouvelle pour l'instant...

Après :

A peine arrivée, je suis guérie. Je ne peux pas dire que c'est grâce au soleil et à la chaleur puisqu'il faisait sensiblement le même temps à Paris. Ma vie toulousaine reprend là où je l'ai laissé, sans même avoir besoin d'une transition. Les cours, la danse africaine, et je me suis remise à écrire. Il me tarde de trouver un boulot et de changer un peu mes conditions de vie par la même occasion.

17/03/2017

Du soleil !



Quelques jours que les températures sont aux alentours des 20°c. Excellente chose pour le moral mais c'est vicieux. En plein mois de mars, faut être méfiant et sortir bien couvert le soir parce qu'on perd jusqu'à 15°c entre 16h et 22h. A force de sortir en journée avec juste un sweat ou un petit pull, et puis de ne pas prévoir pour la soirée, j'ai attrapé une bonne crève le week end dernier... Résultat, j'ai quasiment passé la semaine à dormir, dès que je n'avais pas de cours à donner.

J'ai enfin passé le dernier rendez vous de l'accompagnement en reconversion pro, et bon débarras. La référente n'a pas débordé d'optimiste quand à ma recherche de boulot, et je me suis mise la pression pour pas grand chose. Je dois rester sûre de moi si je ne veux pas tout abandonner. Je garde donc mon programme de base : bien m'organiser pour être au maximum de mes capacités et de ma forme à mon retour de Paris fin mars, pour chercher un boulot dans les meilleures conditions possibles. Et trouver évidemment !

En attendant, je peaufine mon cv et ma lettre de motivation, et puis je fais un grand ménage dans mes papiers, dans mes activités (surtout en ligne), histoire de pouvoir me remettre à l'écriture pendant que je bosserais, sans être parasitée par d'autres projets moins importants. Donc je fais du tri dans les photos, dans mes archives de blog, dans les papiers que je garde pour rien...

Dans quelques jours je reviens à Paris et vraiment j'ai hâte. Toute cette semaine j'avais le mal du pays, comme l'impression de ne pas être vraiment là. Je pense que les microbes y ont quelque chose à voir, mais ils n'ont fait qu'augmenter un sentiment déjà là. C'est comme si j'avais besoin de revenir pour me sentir à nouveau complètement chez moi.

07/03/2017

Théories



Depuis 10 jours je sors beaucoup le soir, le métro devient un allié (même si je n'ai pas encore ma carte de transport...), des nouveaux bars s'ajoutent à la liste de ceux que je connais, et je continue à me faire des connaissances sympas.

J'ai rencontré quelques parisiens, installés depuis plus longtemps que moi, et les entendre parler me confirme qu'ils se plaignent beaucoup et ne voient pas le positif où il est. On me dit beaucoup que c'est étonnant que je n'essaye pas de me rapprocher d'eux plutôt que des autres, sous prétextes qu'ils me rassureraient, me comprendraient etc. Mais au contraire, j'aime bien plus l'esprit des gens du sud : ils profitent de tout et ils sont détendus. Même si tout ce que j'avais entendu dire sur les toulousains se confirme en général : ils ouvrent les bras mais ne les referment pas, ils restent entre eux, sont hypocrites...  Je crois encore aux exceptions, mise tout sur les toulousains d'adoption, et je suis contente de la situation pour l'instant. J'ai même officiellement un ami sur qui je peux compter ici !

A force de sortir, j'ai aussi pu vérifier la théorie selon laquelle on croise par hasard au moins une fois par jour une personne qu'on connait. Dans le métro, dans la rue, dans les bars... Ce qui est fou vu que je connais encore peu de monde.

La météo du mois de mars est trompeuse : on se croit au printemps avec des températures qui montent jusqu'à 18°c, mais les jours de pluie et de tempête de vent calment les ardeurs. Et le pire c'est les chutes de températures le soir, on ne s'y attend pas, on ne s'habille pas assez, et tout le monde a un rhume.

Ma "formation" pour une éventuelle reconversion professionnelle est terminée. J'ai abrégé mes souffrances, sachant que tous ces exercices n'ont servit qu'à me confirmer que je suis faite pour le commerce. La recherche d'un emploi reprend doucement, et je garde toujours au fond de mon esprit l'idée de passer un concours de la fonction publique. A suivre...

Je commence vraiment à avoir envie de retourner à Paris quelques jours, et comme en novembre, je constate que cette envie arrive au bout de 2 mois. Mes billets sont pour la fin du mois, et je prévois déjà de réserver pour fin mai, maintenant que je connais la périodicité de mon envie/besoin de rentrer.
D'après ce que j'ai compris, à partir de juillet, la ligne tgv du sud-ouest sera changée : le trajet va être plus rapide et idtgv disparaît mais rien ne dit encore quels seront les tarifs...

Pour finir j'ai enfin utilisé ma carte cadeau Sephora de Noël et je suis toujours à la recherche d'une paire de bottines mais il n'y a pas énormément de choix ici.